Souriez, vous êtes en-ligne en 2008

N'ayant aucun talent pour cette comptabilité, je l'ignore. À vrai dire, ce que je sais provient surtout des courriels de consommateurs satisfaits ou souvent inquiets de leurs achats sur le Net.

Chose certaine, gens d'affaires et consommateurs souhaitent donner une impulsion nouvelle aux achats par Internet, chacun à leur façon.
À cet égard, la subtantielle hausse du dollar a marqué un point tournant l'automne dernier.

Fait marquant
Pourtant, notre dollar gonflé aux hormones du pétrole a causé bien des maux de tête en 2007.
Car pour un temps, les prix outre-frontières semblaient défier toute concurrence. Mais qu'en était-il des garanties à appliquer sur ces produits?

Pendant que nos gens d'affaires n'en finissait plus de retarder la parité des prix sur leurs produits, l'herbe du voisin avait l'air si verte.
Nous étions donc des milliers à traverser chaque semaine les frontières américaines, tant sur le Net qu'en voiture.
Il aurait peut-être suffi de faire marcher la souris pour apprendre, sans trop d'effort, à réaliser de bonnes affaires chez-nous.




Et d'ici la Saint-Valentin, des surprises sont prévues, dont :

par Louis Lemieux, le 10 février 2008.


Qu'arriverait-il si nos commerçants s'entendaient «coast to coast» pour appliquer une livraison gratuite automatique sur tout achat de plus de 50 $ avant taxes? Un irritant de moins.
Certains cyber-commerces le font déjà, comme par exemple ICI ou ICI ou encore ICI avec plus de 39 $, et nous sommes portés à les fréquenter.
Il faudrait simplifier au maximum l'achat en ligne, susciter davantage l'intérêt, se positionner pour être à certains égards en avance sur nos voisins, plus près des consommateurs, et pour de vrai. Et prendre le virage vert. Devenir une référence au lieu de traîner de la patte.
Pourquoi pas? C'est ce que j'ai demandé cette année au Père Noël en faisant mes emplettes en ligne.
En réalité, il suffirait de presque rien pour que le magasinage Web de chez-nous, en plus de fournir une sécurité, s'ajoute aux pratiques responsables et écologiques.




Pemettez qu'au chapitre de ce qu'on appelle les résolutions, mes choix personnels n'aient rien de trop contraignant.
En fait, ces choix pour 2008 sont de nature assez agréable.
Pour l'essentiel, apprendre à dire Non ou sinon, dire un petit peut-être aux tentations sans cesse plus nombreuses. Il faut organiser cette insatiable curiosité face à trop de choses, en même temps.
Rien ne remplace le bonheur de recevoir à sa table la famille et les amis.
Leur concocter les plats et desserts qu'ils aiment. Essayer de faire plaisir. Sortir nos plus beaux atours!
Pour y parvenir, il faudra cependant apprendre à gérer le temps consacré à l'Internet.
En commençant par les savoureuses recettes aux fraises et à la rhubarbe rose. D'habitude, ça sent bon la santé dans toute la maison. Ce ne fut pas le cas en 2007.
Mon scrapbook de recettes était pourtant prêt, mes casseroles et aussi mes pots... et une variété d'excuses pour remettre à plus tard. Et finalement à trop tard!

La cerise sur le sunday?

Il ne faudrait quand même pas exagérer en 2008.
Peu importe. À défaut de faire le voyage, qu'est-ce qui nous empêche de se payer la traite gracieusement en pensant fort à la beauté de Florence.
En pensant aussi à la cathédrale Duomo et au savoir-faire de ce peuple qui adore feindre d'ignorer combien il est bourré de talents. Et en pensant à la qualité de leurs produits.
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