2008/02/22

Il y a tout juste un an


☼ Les premier et deuxième textes, 23 février 2007 ►

À quelques heures de ce premier anniversaire, il n'y a pas de quoi se péter les bretelles. Il s'agit en fait d'un mariage virtuel d'à peine 12 mois avec la blogosphère. «Un pet de fourmi», dirait Vigneault.

Et en pareilles circonstances, les époux célèbrent un anniversaire de papier ou horloge, au choix. Rien de glorieux ou d'ostentatoire. Une première étape est réalisée, sans doute la plus facile.

Sauf pour le fait, et j'en suis fière, d'avoir eu à franchir une montagne d'inconnues informatiques avant d'entrer enfin sur le Net en 2007. Un test d'endurance, une dentellière de la patiente (à écouter).

Pourtant, mon ignorance n'a d'égale qu'une farouche envie de partager des informations et quelques idées.

Il faudra apprendre encore à mieux bloguer tout en continuant à magasiner avec plaisir. Et il serait peut-être sage de boire moins de café.

• Avant tout, un bravo aux consommateurs

Je sais, on nous le répète souvent, nous sommes encore peu nombreux à magasiner par Internet. Et justement, cela est devenu la direction donnée au site la magasineuse, son esprit.

Est-ce dû à la crainte d'une expérience négative en ligne ou au manque de temps pour en apprendre l'ABC? Inutile de choisir entre la poule ou l'oeuf. Il n'y a ni bonne, ni mauvaise réponse. Comme d'habitude, tout est une question de perception.

L'approche N° 1 consiste à magasiner en ligne de façon pratique, sécuritaire et modérée, et d'abord au Québec ou au Canada. Surtout auprès des commerces déjà connus du grand public.

Et le Carnet d'adresses de la magasineuse en fournit un parcours qui, comme chez d'autres, n'est pas sans fautes.


Ça se fête quand même!

Et tant qu'à être démodée, une grande coupe de Martini fera très bien l'affaire.

J'en connais dans l'entourage qui vont se réjouir de ce choix. Mais encore faut-il savoir le préparer. Et j'admets ne pas pratiquer l'art du cocktail.

En revanche, il serait prétentieux de sabler le champagne en l'honneur des cyber-débuts d'une magasineuse. Quoiqu'en d'autres circonstances, rien ne surpasse ce nectar.

Gardons-nous quand même une petite réserve d'imagination pour la suite des choses. Allons-y en sachant que même la fête a ses obligations de performance. Plus que jamais, semble-t-il.


Ah! si j'avais un...

• Temps pour un bichonnage de magasineuse,
à Paris comme au cinéma photo ci-haut

En guise de cerise sur le gâteau

Permettez que je fasse mienne la vision de William Hurt, un seul instant :

«...je ne suis plus dans une dynamique de réussite, ni de succès populaire. Il s'agit d'une sensation exquise. Je me sens plus léger, plus en maîtrise.»

Source La Presse, Marc-André Lussier, fin du 6e paragraphe, 22.02.2008

Entre bonheur et sagesse

Il y a longtemps, ma grand-mère Anna Fontaine a eu ce mot pendant la célébration du 50e anniversaire de mariage du couple. Leurs noces d'or. Au repas, elle s'est penchée vers moi et sur le ton de la confidence :

«Tu sais ma p'tite fille, ce sont seulement les cinquante premières années qui sont les pires». Et grand-maman a ri de bon coeur.

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